L'Eglise du Christ ne vend pas ses sacrements !

Rappel au clergé.

Les ordinations sont gratuites !

Dans la tradition orthodoxe, la pratique de recevoir de l'argent en échange d'une ordination est strictement interdite. Les ordinations dans l'Église orthodoxe sont considérées comme des actes sacrés et spirituels, et l'idée de payer pour recevoir un sacrement est contraire à la doctrine et à la tradition de l'Église.

Sanctions pour les évêques

qui vendent les ordinations :

Les sanctions canoniques dans l'Église orthodoxe peuvent varier en fonction de la gravité de l'infraction et des circonstances spécifiques. Dans le cas où un évêque orthodoxe serait découvert en train de faire payer pour les ordinations, cela serait considéré comme une violation grave des normes canoniques et pourrait entraîner des conséquences sérieuses.

Les sanctions canoniques peuvent inclure des mesures disciplinaires telles que la destitution de ses fonctions épiscopales, la suspension temporaire de l'exercice de ses pouvoirs épiscopaux, voire dans les cas les plus extrêmes, l'excommunication. Il est à noter que les procédures et les décisions en matière de sanctions canoniques sont régies par la Tradition, les canons et la discipline de l'Église orthodoxe, et qu'elles sont généralement mises en œuvre par un synode ou un conseil ecclésiastique compétent.

Les sanctions canoniques pour la vente d'ordination dans l'Église orthodoxe sont régies par le droit canonique de l'Église et peuvent varier en fonction des circonstances spécifiques de chaque cas. En général, la vente d'ordination est considérée comme une grave violation des principes et des enseignements de l'Église et peut faire l'objet de sanctions canoniques sévères, y compris la déposition de l'ordination, la suspension ou d'autres pénalités spécifiques déterminées par les autorités ecclésiastiques compétentes.

Les procédures et décisions en matière de sanctions canoniques pour la vente d'ordination sont généralement traitées par les autorités ecclésiastiques supérieures de l'Église, telles que les évêques, les synodes ou d'autres organes ecclésiastiques compétents. Ces décisions sont prises conformément aux lois canoniques et aux traditions de l'Église orthodoxe.

Il est important de noter que chaque cas est examiné individuellement, et les décisions concernant les sanctions canoniques sont prises avec sagesse et discernement par les autorités ecclésiastiques compétentes, en tenant compte de tous les aspects pertinents du cas spécifique.

Gratuité des sacrements.

Dans l'Église orthodoxe, les sacrements ne sont pas payants. Contrairement à certaines pratiques dans d'autres confessions chrétiennes, où des frais peuvent être associés à la célébration de sacrements tels que le baptême, le mariage ou les funérailles, l'Église orthodoxe considère que les sacrements sont des dons de la grâce de Dieu et ne doivent pas être soumis à des paiements.

Les fidèles orthodoxes participent aux sacrements de manière libre et non conditionnée par des frais financiers.

En conséquence, les fidèles ne versent pas d'argent directement pour recevoir les sacrements dans l'Église orthodoxe.

Sanctions pour les évêques,

prêtres, diacres et exorcistes

qui vendent les sacrements :

Dans la tradition de l'Église orthodoxe, les sacrements ne doivent pas être monnayés. Si un évêque, prêtre, diacre, exorciste orthodoxe est reconnu coupable d'avoir monnayé les sacrements, cela serait considéré comme une grave violation des normes canoniques et de la discipline de l'Église.

Les sanctions canoniques pour de telles actions pourraient inclure des mesures disciplinaires sérieuses, telles que la destitution de ses fonctions, la suspension temporaire de l'exercice de ses pouvoirs cléricaux, voire dans les cas les plus extrêmes, l'excommunication.

Cependant, il est important de noter que les procédures et les décisions en matière de sanctions canoniques sont régies par les canons, la Tradition et la discipline de l'Église orthodoxe, et sont généralement mises en œuvre par un synode ou un conseil ecclésiastique compétent. Les sanctions spécifiques peuvent varier en fonction de la gravité de l'infraction.

+++ Patriarche Jacques III